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Le Monde de Djayesse

Le Monde de Djayesse

Un peu de tout : du cinéma (beaucoup), de l'actu (un peu) et toute cette sorte de choses [A bit of everythying: cinema (a lot), news (a little) and all this kind of things]

Publié le par Djayesse
Publié dans : #Cinéma, #Anthony Russo, #Joe Russo, #Marvel, #Robert Redford
Captain America : Le Soldat de l'hiver (Captain America: The winter Soldier - Anthony & Joe Russo, 2014)

Il revient (encore), et cette fois-ci, c’est pour combattre son vieil ami : James Buchanan « Bucky » Barnes (Sebastian Stan) aussi connu sous le nom de Soldat de l’Hiver.

On avait laissé ce dernier lors d’une chute mémorable vers un gouffre infini, un peu comme on en trouve dans Beep-Beep et le Coyote.

Mais c’est bien lui, et cette fois-ci, il ne marche plus pour l’Oncle Sam, mais pour Hydra.

Qui est ce « Il » qui revient ? Mais c’est Captain America (Chris Evans), bien sûr.

 

Avec Bucky, c’est le premier épisode qui se rappelle à nous – ainsi qu’à Steve Rogers – plus de 70 ans plus tôt.

Entre temps, Rogers a vécu d’autres aventures dont nous reparlerons plus tard.

Cette fois-ci, c’est S.HI.E.L.D. (1) qui est au centre de l’intrigue, et d’une certaine façon le futur des Avengers.

 

On retrouve donc Nick Fury en très mauvaise posture et l’organisation citée plus haut dans une véritable machination, orchestrée par un nouveau visage (2), ami de ce même Nick : Alexander Pierce (Robert Redford).

Qui dit Hydra, dit retour du Dr. Zola (Toby Jones), et pour l’anecdote Johann « Red Skull » Schmidt (Hugo Weaving).

 

Aux côtés de notre Captain, on retrouve la Natasha « Black Widow » Romanoff (Scarlett Johansson) et un nouveau venu bien utile en cas de pépin : Sam « Falcon » Wilson (Anthony Mackie) et sa paire d’ailes.

Face à lui, c’est toute une partie de SHIELD qui se rebelle et va rejoindre Hydra, dont le gros méchant Brock Murlow (Frank Grillo).

 

Pour le reste, c’est encore du très grand spectacle mais il manque cruellement l’humour de Joe Johnston qui donnait un ton plus plaisant à la série (il semble que Spielberg ait un peu déteint sur lui).

Alors c’est efficace, mais ça manque tout de même d’humour.

D’un autre côté, l’intrigue est plutôt sombre : il s’agit de flinguer 20.000.000 (3) de personnes pour sauver les autres milliards d’individus, avec en prime un héritage conséquent de Hydra : le retour à la paix et l’ordre.

Comme souvent, dès qu’il y a quelque chose qui met en péril la Liberté, ce sont les nazis qui s’y collent (voir OSS 117 : Le Caire, Nid d’espions).

 

Alors on suit cette histoire spectaculaire mais un cran au-dessous du premier opus, et jusqu’au bout pour ne pas rater les deux séquences additionnelles, en se demandant bien où s’est caché Stan Lee, le véritable « Charlie » de la série.

Je l’ai trouvé, fidèle au poste (4)…

 

  1. Strategic Homeland Intervention Enforcement Logistics Division, vous chercherez la traduction, les initiales signifiant « bouclier ».
  2. Dans le sens qu’on ne l’a pas encore vu dans la série, pour le reste, notre homme a quelques dizaines de films à son actif.
  3. C’est toujours plus impressionnant en chiffres !
  4. Vous ne pensiez tout de même pas que j’allais vous le dire !
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