Un peu de tout : du cinéma (beaucoup), de l'actu (un peu) et toute cette sorte de choses
[A bit of everythying: cinema (a lot), news (a little) and all this kind of things]
8 h, un dimanche avant noël. Les inspecteurs Rabut (François « Lucas » Cadet) et Bonetti (Serge Sauvion) viennent tirer du lit Michel Saugeat (Roland Lesaffre) pour « une affaire le concernant » (comme on dit dans ces cas-là). Cinq heures plus tard, on...
La Marie, c’est Nicole Courcel. Et le Port, c’est Port-en-Bessin, petite commune du Calvados. Et le Calvados, c’est ce qu’ingurgite à longueur de journée le père Viaud (Julien Carette), un marin qui est obligé de vendre son bateau pour survivre (et aussi...
Un écrivain subversif. Un évêque pas toujours clair. Un botaniste au-dessus de tout soupçon (enfin normalement). Un tueur de bouchers. Et… et Scotland Yard. De l’humour anglais français. Tel est le film de Marcel Carné, servi admirablement par Jacques...
Février 1945. Deux enfants qui s'aiment (ils ne sont là pour personne). Un jeune homme qui va retrouver un vieux camarade. Un camelot et sa marmaille. Une femme qui quitte son mari. Un fils et son père. La Guerre qui se finit. Et le Destin qui rôde, plus...
Le Canal Saint Martin, un soir de communion. Deux amants désespérés : Renée (Annabella) et Pierre (Jean-Pierre Aumont). Tellement désespérés, qu’ils ratent leur suicide. Deux autres amants, en bout de course, eux aussi : Raymonde (Arletty) et Edmond (Louis...
Le Havre. Son port, ses quais, ses transatlantiques, sa rue commerçante. A l’écart, chez Panama (1906). Et puis son brouillard. Pire qu’au Tonkin. Au milieu de tout ça, Gabin (Jean). Ses yeux bleus, sa mélancolie, son petit bout de rêve. Autour de lui,...
Chef d’œuvre absolu. D’un côté, il y a Frédérick Lemaître (Pierre Brasseur). L’acteur. De l’autre, Baptiste Debureau (Jean-Louis Barrault). Le mime. Il y a aussi Pierre-François Lacenaire (Marcel Herrand). Le criminel. Et enfin Edouard de Montray (Louis...
Une petite chambre sous les toits. Celle de François. Un lit, une commode, une tabléchaise, une armoire (grande... Normande...), un miroir... Et le regard de Gabin. Un ours en peluche avec une seule oreille, une broche, un journal, la clé dans la porte......
« Qui bat… Qui bat… » répète le diable en frappant la statue des amants réunis dont le cœur bat à l'unisson. D'aucuns y ont vu une allégorie de la Résistance dont le cœur continuait de battre malgré l'Occupation. Pourquoi pas. Pour ma part, je n'y vois...