Un peu de tout : du cinéma (beaucoup), de l'actu (un peu) et toute cette sorte de choses
[A bit of everythying: cinema (a lot), news (a little) and all this kind of things]
A la fin du deuxième opus, nous avions compris que la Vérité était ailleurs (comme disaient Mulder et Scully). Nous allons donc passer de l’autre côté du miroir. Et finalement, l’herbe n’y est pas plus verte, surtout que des cataclysmes nucléaires (tiens,...
Une tour gigantesque (près de 140 étages) en plein cœur de San Francisco. Un bâtiment aussi indestructible que l’était le Titanic avant son départ. Et puis on rogne sur les budgets, et le feu prend. Nous sommes en pleine vague de films catastrophe aux...
La colline ? Deux amoncellements de pierres, séparés par du sable, en pente. Les hommes perdus ? Des voleurs, des déserteurs, des violents. Des rebuts de l’armée. Nous sommes dans un camp disciplinaire britannique, pendant la deuxième guerre mondiale,...
Une salle. Une table. Douze chaises. Douze hommes. Un seul verdict. Un huis clos étouffant, dans tous les sens du terme : la tension ne fait que monter en même temps que se charge le temps atmosphérique, une chaleur moite et un ciel de plus en plus noir....
Sur une plage, un homme arrive (Charles Chaplin), épluche une banane, la mange et jette la peau. Quelques secondes plus tard, il glisse dessus. Pendant ce temps, des couples se font et se défont. Sorti un peu plus de quinze jours après Le Vagabond, on...
Avant, quand on parlait de Richard Cœur de Lion, il y avait le Robin des Bois de Michael Curtiz. Mais à partir de 1952, la relève fut assurée par Ivanhoé, autre chevalier fidèle, qui sera même adapté pour la télévision avec l’aristocratique Roger Moore....
Parmi tous les films qui sont sortis en 1927, l’une des plus belles années du point de vue de la production cinématographique, il est un petit film (6 minutes environ) qui aurait pu passer inaperçu s’il n’y avait eu autant de stars à y participer. Tourné...
« And then along came Jones Tall thin Jones Slow-walkin' Jones Slow-talkin' Jones Along came long, lean, lanky Jones » Le refrain de cette chanson des Coasters (1959) est à rapprocher du film de Stuart Heisler, qu’on a (encore une fois très) mal traduit...
René Clair est, à mon avis (mais je ne dois pas être le seul), le plus grand cinéaste comique français. Il nous propose ici un vaudeville plutôt subtil. Il faut dire que la pièce de Labiche, dont est tirée l’histoire, avait de quoi réjouir. Nous sommes...
Jenny Lawrence (Mary Pickford) vient de perdre sa maman, qui l’enjoignait, dans ses dernières volontés de rejoindre son oncle John (Winter Hall), parti en Californie chercher de l’or (c’est la ruée de 1849). Mais cet oncle est tué par les Indiens et Black...