Un peu de tout : du cinéma (beaucoup), de l'actu (un peu) et toute cette sorte de choses
[A bit of everythying: cinema (a lot), news (a little) and all this kind of things]
Un rat, sur la rambarde d'un balcon quitte l'écran par la gauche, nous laissant admirer le dôme du Massachussetts State House de Boston, siège du gouvernement de l'Etat. Voici la véritable fin de ce film. En anglo-américain, un « rat », c'est une balance,...
Le grisbi. le pognon. L'artiche. L'argent, quoi. Ce qui fait tourner le monde. En 1953 comme aujourd'hui. Et en plus, ici, le grisbi, c'est le nom de la musique qui revient sans cesse quand on en parle. La musique fétiche de Max (Jean Gabin). Max, c'est...
Une voiture démarre. A son bord : Tom Powers (James Cagney) et Matt Doyle (Edward Woods). Une femme en blanc traverse le champ. Nous suivons les deux hommes. Soudain, Tom aperçoit quelque chose : c'est une femme. Celle qui vient de traverser devant nous....
Caesar Enrico Bandello. Le petit César. Mais on l'appelle Rico (Edward G. Robinson). C'est une petite frappe. Le genre à braquer des stations services, avec son partenaire, Joe Massara (Douglas Fairbanks Jr.). Mais il a de l'ambition. Un jour, qu'il lit...
Tony Camonte (Paul Muni) est un homme de main. Il siffle Lucia di Lamermoor avant d'exécuter un contrat. C'est un Italo-américain. Un vrai. Plus italien qu'américain, d'ailleurs. Surtout avec sa sœur, Cesca (Ann Dvorak). Mais surtout, c'est un homme sans...
Un accident de la circulation. Le jeune docteur Ferris (Charles Clary) opère le jeune garçon : ses deux jambes sont amputées. Mais c'est une erreur de diagnostique. Une erreur de jeunesse aux conséquences funestes. Vingt-sept ans plus tard, à San Francisco....
Elle s'ennuie, seule, nue, sur son lit, contre les barreaux. Elle s'ennuie. Elle regarde par la fenêtre, histoire de. Il est là. Il regarde la voiture, imagine où il pourrait aller avec. Elle le voit. Elle lui parle. Il répond. Elle s'habille. Elle descend....
Décembre 1958. Nous retrouvons la famille Corleone, trois ans après le premier opus. Michael (Al Pacino) est toujours le chef de famille, et il règle toujours ses affaires en faisant des offres qu’on peut difficilement refuser… Michael est toujours en...
D’abord il y avait le roman de Mario Puzo (1969). Maintenant, il y a la fresque cinématographique de Coppola. Il y a aussi un avant et un après le Parrain. Avant, jamais on n’avait pris un tel point de vue sur des truands. Les trois grands films de gangsters...
« Yesterday… » La magnifique chanson de Paul McCartney revient deux fois dans le film. En miroir : au début et à la fin, comme God bless America (Irving Berlin). Et entre les deux ? Un magnifique film de Sergio Leone. Avec ce film, il boucle un cycle...