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Le Monde de Djayesse

Le Monde de Djayesse

Un peu de tout : du cinéma (beaucoup), de l'actu (un peu) et toute cette sorte de choses [A bit of everythying: cinema (a lot), news (a little) and all this kind of things]

Publié le par Djayesse
Publié dans : #Cinéma, #Comédie, #Espionnage, #Austin Powers, #Jay Roach, #Steven Spielberg
Austin Powers dans Goldmember (Austin Powers in Goldmember - Jay Roach, 2002)

Jamais deux sans trois !

Voici le retour du plus célèbre agent (pas très) secret britannique : Austin Powers (Mike Myers). Celui à côté duquel James Bond n’est qui amuseur de foire et surtout un représentant de la technique du MI 6.

A nouveau, Austin Powers est aux prises avec le terrible Dr. Evil (Mike Myers) et sa clique de méchants : Mini-Moi (Vern Troyer), Frau Farbissina (Mindy Sterling), Numéro 2 (Robert Wagner & Rob Lowe), Fat Bastard (Mike Myers) et un nouveau qui donne son nom au titre du film, Goldmember (Mike Myers). Notons au passage que la traduction littérale de son nom n’est pas du tout usurpée.

Cette fois-ci, le Dr. Evil a l’intention de submerger la Terre en faisant fondre la calotte glaciaire du Pôle Nord.

Evidemment, Austin Powers, aidé de Foxxy Cleopatra (Beyoncé) va l’en empêcher.

 

Il semble que ce soit la fin des aventures du super espion, ce qui n’est pas plus mal, vu le déclin (amorcé dans l’opus précédent) des films. On s’amuse toujours autant mais on sent que cela s’émousse. On y retrouve bien sûr les gags pas toujours élégants mais drôles, et on peut quand même regretter la réduction de la dimension sexuelle du personnage principal qui n’est véritablement évoquée qu’au début. Avouons aussi une première séquence qui réserve une belle surprise (1) avec quelques invités prestigieux. Même Spielberg est de la fête !

Mais malgré tout, on peut se lasser. C’est absolument foutraque et cela se ressent dans le scénario qui part un peu (trop) dans tous les sens.

 

Mais comme nous marchons dans la parodie (et pas seulement du pied gauche),l’exagération devient donc une arme dont Mike Myers – et donc Jay Roach qui a rempilé lui aussi – use et parfois abuse.

Encore une fois, le jeu de Myers est phénoménal, et à ses côtés, Beyoncé n’est pas mal non plus. En plus des clins d’œil, à James Bond, on a droit à un rappel de l’épisode précédent qui est carrément évoqué par les acteurs eux-mêmes (on n’est jamais mieux servi que par soi-même).

 

Alors une dernière fois, laissez vous faire et entraîner aux côtés de cet agent très spécial qui, à l’instar d’Indiana Jones a amené son père (Michael Caine) dans cette aventure : lui aussi était dans la même branche, et avait le même succès auprès des femmes.

Le Mojo, c’est héréditaire !

 

  1. Je ne vous dirai rien, sinon, ce n’en serait plus une !
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